Avec des mots.
Cette longue pause s’est achevée sur une sesshin zen d’une semaine, suivie par un court séjour dans le monastère bénédictin de St-Benoît sur Loire. S’arrêter, prendre plusieurs jours pour descendre en profondeur en soi, l’expérience est alors difficile à partager avec autrui par des mots, lorsque je me retrouve zéro entre ciel et terre. J’ai cependant noté cette analogie, que je vous partage.
Comme un enfant qui rêve dans son jeu.
Il s’arrête et il rêve de son rêve.
Alors la joie illumine son visage.